jan 7

L’aquarium d’Osaka.

Category: Osaka

Après une longue pause, je vais quand même tacher de mettre à nouveau quelques photos en ligne, celles qui valent le coup en tout cas, afin de compléter ce blog au maximum.

Voici donc l’une des dernières visites que j’ai faite au Japon, celle de l’aquarium d’Osaka nommé “Kaiyukan”. Celui ci est principalement réputé pour deux choses, son architecture très moderne et la présence de deux requin-baleines à l’intérieur, le plus gros poisson du monde, ce qui explique le logo de cet aquarium, lui aussi étant l’un des plus gros de la planète. A l’intérieur, un petit bonhomme explique de manière amusante ce qu’il y a derrière chaque vitrine.

Voici donc en vrac les photos de l’aquarium principal renfermant les deux fameux requin-baleines, mais aussi bon nombres d’autres spécimens comme des raie mantas dépassant les six mètres d’envergure.

Il y a aussi d’autres aquariums avec bien d’autres types d’animaux aquatiques, j’ai particulièrement apprécié les Pingouins, c’est toujours aussi drôle, et les méduses sont toujours aussi mystérieuses. Ajoutons à cela d’impressionnant crabes araignées géants ainsi que d’autres amphibiens qui passent malheureusement très mal en photo comme des poissons lune, des dauphins ou encore des pieuvres.

Et pour finir, voici un cube de verre qui nous montre l’épaisseur des vitres de l’aquarium géant, environ 30 cm, épatant non ?

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oct 14

De retour mais …

Category: Cuisine, Osaka

OUI c’est bon, je suis bien rentré il y a presque une semaine mais j’ai encore plein de choses et de photos à vous montrer, malheureusement je n’ai pas beaucoup de temps puisque je doit préparer mon diplôme pour la fin du mois. Je pense donc que je vais mettre les photos en ligne quand même et décrire globalement ce dont il est question pour que le contexte soit compréhensible mais sans toutefois être trop précis dans les descriptions, disons pas autant que lorsque j’étais sur place.

Pour commencer voici la visite du musée des “Instant Ramen” que j’ai visité le dimanche précédant mon départ. Ce produit est très célèbre à travers le monde entier et consiste à acheter des nouilles séchées dans un petit bol et à ajouter ensuite de l’eau bouillante dedans pour les consommer. C’est à Osaka, plus précisément à Ikeda que cela fût inventé par Momofuku Ando en 1958 dans un garage comme c’est souvent le cas, et qu’ensuite l’entreprise Nissin, seule à détenir le brevet, s’est beaucoup développée au point d’avoir construit un musée gratuit entièrement dédié à cette histoire étonnante. Voici donc quelques images de la visite avec notamment l’impressionnant mur remplit de toutes les sortes de “cup noodles” commercialisée depuis 50 ans classées comme un arbre généalogique ainsi que le fameux logo “Chikin ramen”.

Le créateur des instant ramen, monofuku Ando.

Des nouilles qui tiennent toute seules.

Les cup noodle pour consomer dans l’avion.

Les instant ramen destinés au astronautes.

La cup noodle du cinquantenaire de la marque.

La carte de la consommation mondiale d’instant ramen.

L’antre des cup noodle, comment c’est fait ?

Et le gigantesque mur généalogique.


Et le clou de la visite, c’est la possibilité de composer soit même sa “cup noodle”, on commence par dessiner au feutre sur son emballage vide puis on choisi la sauce et quatre éléments à mettre dedans avant de refermer le packaging. J’ai choisi la sauce SIO avec des morceaux d’oeuf, de viande, de fromage et les petits narutos rigolos avec la tête du petit chikin dessus.

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sept 30

Seb à Osaka-mas-mashta !

Category: Osaka

Comme il l’avait promis, il est venu me rendre visite au Japon, je veux parler de mon cousin, Sébastien, pilote chez Air France, qui est donc venu “dans le cadre  de son travail”. Arrivé ce lundi soir, nous sommes allés au resto avec quelques collègues pour manger un “shabu-shabu”, de la viande coupée très fine que l’on trempe dans de l’eau bouillante pour la faire cuire à la manière d’une fondue avant d’aller boire le Bordeaux qu’il a ramené de France chez Shimzu.

Le lendemain, après une nuit plus ou moins tranquille, et parce que j’ai pu prendre mon mardi après midi puisque j’ai été travaillé tout le week end, nous avons pu aller visiter Osaka, sous la pluie (battante malheureusement…), mais le Château est quand même bien chouette, malgré l’humidité très ambiante !

Nous avons ensuite rejoint le quartier sud de Namba. Nous en avons profité pour tester les fameux Pachinko, ces jeux de billes qui font fureur au japon, où tout le monde joue dans un bruit infernal et sans aucun but précis, du moins pour nous français, mais c’est amusant quand même.

Pour finir nous avons été dans LA rue des restaurant à Osaka, Dotombori, pour y manger un bon Okonomiyaki accompagné d’une succulente “bi-rou”, mais hélas, ma batterie a rendue l’âme, je n’ai pu prendre que deux photos, une de Namba sous la pluie et une de Dotombori.

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sept 25

S’il n’en restait que deux…

Category: Japon

… ce serais ces deux là. Hé oui, en une journée samedi dernier et à la demande de Kazuo Kawasaki qui voulait que je finisse ma visite du Japon par ces endroits célébrissimes, nous avons été à Miyajima et Hiroshima avec quelques collègues. Nous avons donc loué une voiture et parcouru les 300 km qui séparent Osaka de ces deux lieux, sans oublier de manger un bon Onomichi ramen dans un très grand bol sur une aire de repos.

Nous avons tout d’abord visité le “Shrine” de Miyajima, sanctuaire shintoïste dont la construction sur pilotis à débuté il y a 800 ans. Cet endroits est surtout célèbre grâce à son “torii flottant”, la porte représentant l’entrée d’un shrine, qui ici à les pieds dans l’eau. C’est unique et très joli, c’est même considéré parmi les trois vues les plus célèbres du Japon.

Voici donc quelques photos en vrac de la visite de ce sanctuaire aux couleurs orangées et bien sur entièrement construit en bois.

La pagode de Miyajima, sublime tour à cinq étages construite en 1407.

Une des particularité de cette île, ce sont les nombreuses petites biches en totale liberté qui n’hésitent pas a essayer de manger les vêtements des passants.

Et comme cette année 2008 est celle des 150 ans des relations franco-japonaises, le Mont-Saint-Michel normand et le torii de Miyajima sont à l’honneur sur les affiches commémorant cet anniversaire.

Ensuite nous sommes allez non loin de là dans le centre d’Hiroshima afin de voir cette ville tristement célèbre et de visiter son fameux mémorial pour la paix, voir la flamme qui ne s’éteindra que lorsqu’il n’y aura plus une seule arme nucléaire sur la terre et apercevoir le château d’Hiroshima reconstruit en béton armé après l’explosion.

Mais le plus impressionnant est sans conteste le “Dôme de la bombe A” ce bâtiment situé très proche de l’épicentre de l’explosion et qui a résisté au point d’être encore debout de nos jours, sans avoir subi de modification en guise de témoignage.

Puis pour le retour, nous avons de nouveau mangé sur l’autoroute, j’ai pris un Chiken namban, de très bon morceaux de poulet enrobés d’une délicieuse friture que je ne connaissait pas. La soupe miso accompagne le tout, c’est extrêmement populaire dans tout le Japon malgrè cette texture très étrange.

Et pour finir, je n’oublierais pas de remercier les protagonistes de ce samedi passionnant, la secrétaire de l’agence Hitomi, mon collègue Ôshima et les deux étudiants du PID Funayama à ma gauche et Nakamura qui se fait une fois de plus remarquer.

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sept 19

Speed shape saison 2.

Category: Design

Si vous n’avez pas lu le premier épisode, je vous conseil vivement de cliquer sur ce lien afin de ne pas voir la fin avant le début, ce serait quand même dommage.

J’en étais donc à vous montrer toutes les recherches de “speed shape” et le développement qui s’en est suivi, nous pouvons donc maintenant passer à la finition. Pour avoir un meilleur aperçu de ce que rendra l’objet une fois terminé, on fait des roughs à l’aide de marqueurs, les fameux Copic Japonais bien sur.

Ces rendus les plus réalistes possibles sont généralement mis en valeur par des fonds dynamiques dont les designers Japonais sont toujours friands, bien qu’en Europe ça commence vraiment à disparaître.

Mais la perfection des contours d’une forme ne peut être atteinte que grâce à des plans techniques en deux dimensions d’une précision maximale.

Et lorsque tout ça est terminé, on peut enfin attaquer la maquette de cette “speed shape”, d’abord en taillant la forme au papier de verre directement dans un bloc de mousse, puis ensuite en enduisant de mastic cette mousse et en ponçant de nouveau pendant des jours entiers afin d’avoir une surface parfaite. On bouche les trous avec une sorte de pâte grise qui durcit, on re-ponce et après une couche de “surfacer” la maquette est prête à être peinte.

Le dernier travail consiste à prendre les plus belles photos possible du résultat avec de chouettes effets de lumière et un environnement neutre. J’ai choisi de peindre ma “speed shape” dans un violet brillant aux reflets rosés, c’est original et très réussi m’a t on dit.

Mais comme j’aime bien ma “speed shape”, j’ai voulu lui donner un nom et lui créer un logo, elle s’appelle donc “Kuitsuku”, adaptation de l’anglais “Quick” traduit en katakana, ces petits idéogrammes qui servent à écrire en Japonais un mot d’origine étrangère en se basant uniquement sur les sons des syllabes.

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sept 17

So fast !

Category: Design

Au Japon, les cursus d’études en design automobile incluent toujours un projet de “speed shape”. C’est un travail individuel qui permet au designer de créer une forme basique en lui donnant un fort aspect de vitesse, selon sa propre vision du dynamisme et de réaliser ensuite cette forme en volume afin de ressentir réellement et avec précision les lignes et les surfaces qu’il a voulu exprimer. J’ai eu la chance de pouvoir expérimenter ce travail en compagnie de deux autres étudiants du PID de Kazuo Kawasaki, c’était vraiment passionnant et complètement différent de ce que j’ai pu apprendre à l’ISD, une très bonne expérience visiblement incontournable pour chercher un emploi dans le design au Japon. Ce projet m’a occupé pendant tout le mois d’août, et j’ai maintenant décidé de vous faire partager tout ça par étapes afin de vous montrer toute les phases par lesquelles on doit passer avant d’arriver au résultat final. Commençons donc d’abord par la traditionnelle phase de recherche qui n’a pas vraiment de direction précise, il faut essayer plusieurs idées, explorer de nombreuses voies pour pouvoir tomber sur quelque chose d’intéressant puis développer ensuite les idées retenues. Un maximum de dessins pour un maximum d’idées différentes dont voici une petite sélection.

Après toutes ces recherches, c’est finalement ce dessin qui a le plus retenu l’attention des autres membres de l’agence mais aussi de moi même, j’ai donc décider de développer ce croquis.

Cette forme assez complexe à la base fût donc simplifiée tout en conservant l’asymétrie et l’avant dédoublé qui se rejoint à l’arrière puisque ces deux idées étaient les plus originales et appuyaient le dynamisme de cette “speed shape”.

Puis pour finir, il a fallu fignoler le choix des lignes, des surfaces et des volumes en prévision de la suite du projet.

La suite demain si j’ai le temps parce que en ce moment les journées sont chargées, la fin approche et ça se sent !

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